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En collaboration avec l'Association Suisse des Femmes Ingénieures (AFSI) et le PRN Digital Fabrication (DFAB), le PRN Automation a organisé un webinaire interactif sur le thème "The Power of Networking" (le pouvoir du réseautage) afin de fournir des informations et des outils pour établir un réseau de manière efficace.

Naomi Stricker est en troisième année de doctorat au sein du groupe de génie informatique de l'ETH Zurich, dans lequel elle s'attache à rendre les systèmes de récolte d'énergie plus robustes et capables de communiquer et de collaborer. Ses recherches pourraient pourraient avoir plusieurs applications, du chauffage plus efficace des bâtiments à la surveillance de la qualité de l'air.

Mahsa Rahimi-Siegrist est doctorante et assistante de recherche à l'Institut de planification et de systèmes de transport de l'ETH Zurich et membre du PRN Automation. Elle s'intéresse au comportement des passagers des transports publics et travaille à l'amélioration des stratégies d'information pour accroître la qualité des services de transport.

Pengbo Zhu est une chercheuse en première année de doctorat qui a rejoint le Pôle de recherche national (PRN) Automation en octobre dernier. À l'aide de systèmes intelligents, elle travaille à l'amélioration de la répartition spatiale des véhicules partagés. Ce faisant, Zhu espère avoir un impact positif sur la qualité de vie dans les villes du monde entier.

Mahrokh Ghoddousiboroujeni est une doctorante de première année qui a rejoint le Pôle de recherche national (PRN) Automation en Novembre dernier. Les algorithmes sur lesquels elle travaille pourraient un jour aider à maintenir l'équilibre d'un réseau électrique de plus en plus renouvelable.

Dans le cadre de la campagne #NCCRWomen, cinq femmes du NCCR Automation ont présenté leurs recherches afin de montrer aux lycéens ou étudiants qui elles sont, ce qu'elles font et pourquoi elles le font.

Le PRN Automation est un vaste réseau de recherche financé par le Fonds National Suisse de la recherche scientifique. John Lygeros, directeur du programme, explique pourquoi un tel effort est nécessaire et sur quoi travaillent les plus de 40 chercheurs.